D'abord rêvé puis envisagé, c'est grâce à l'appui de Marie que cette balade en catamaran a pu commencer.

Espagne, Portugal, Baléares, Corse, Sardaigne, Sicile, Italie , Grèce, ... Caraïbes pour l'instant, nos mouillages et rencontres à bord de Mr Happy (un Outremer 50 light) sont un vrai plaisir, Bien sur, quelques coups durs parfois, mais vraiment en minorité, je conseille à chacun de tenter l'aventure...

"Si vous pensez que l’aventure est dangereuse, je vous propose d’essayer la routine… elle est mortelle. »

Paolo Coelho

vendredi 14 décembre 2018

Nous y sommes, et en plein dedans… mais dur dur !

Les travaux et finitions avançant à grands pas, nous nous renseignons donc pour notre mise à l’eau prochaine, vu qu’il faut soit en Martinique d’ici le 21/12…
A l’approche d’un week end où personne ne bosse au chantier, que le vendredi est déjà full car petite marée avec le problème de hauteur d’eau à la cale, et si l’on veut être dans les temps, le jeudi nous est naturellement imposé.
Au début c’était pour la matinée, soit ! mais finalement, et par la faute de certains artisans qui ne nous font pas le boulot dans les temps (bagues de safran), la mise à l’eau est repoussée à la fin d’après-midi. Soit (2 ème) !
La veille au soir, le cata est préparé comme pour une mise à l’eau le lendemain matin, lavé, rangé… Seuls les safrans ne sont pas remontés; il faut encore poncer leurs nouvelles bagues (c’est technique mais nécessaire ).
Réveil à 6 heures pour finaliser encore des bricoles, rayer des lignes sur la « ToDoList » et la matinée passe vite.

Jeudi midi, les bagues sont poncées (ouf!) et en début d’après-midi le cata se lève dans les airs pour l’installation des safrans, sauf qu’il a fallut taper comme un damné à la masse pour les installer. Pour l’un, pas trop de problème, pour l’autre un jeu trop important m’oblige à courir la zone industrielle pour faire une cale supplémentaire en aluminium… Heureusement qu’un responsable technique du chantier m’a épaulé pour trouver et expliquer ce que je demandais… Au bout d’une heure, pièce en main et 50 $ en moins, c’était reparti pour le second safran, sauf que, et oui, la nouvelle bague n’a pas été poncée correctement, donc re-démontage à la masse (3 ème fois ! je commence à avoir l’habitude…), re-ponçage, re-masse et re-installation pour enfin, à 18h voir les gars du chantier arrivés pour la mise à l’eau. Le soleil se couche, il fait presque nuit quand à 18h30 les coques touchent l’eau, ensuite c’est vérif des moteurs, des vannes, des « pas de fuites » un peu partout… et zou ! nous voilà dans la nuit rechercher une bouée pour nous y amarrer et passer notre 1ère nuit de la saison sur l’eau ! Mais quelle journée de fou !


mise à l'eau de nuit...

à la lueur des feux du tracteur...
That's it !

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